vendredi 31 mars 2017

Vidéo-Reportage. La dépollution portuaire et le traitement des déchets hydrocarburés

Agadir – Reportage Levert.ma sur l’entreprise AQUA FLORE PROTECT qui opère depuis 16 ans dans le domaine de la dépollution portuaire et le traitement des déchets hydrocarburés.
L’entreprise est constituée d’une structure intégrée incluant des moyens logistiques de collecte aussi bien terrestre que maritime ainsi que des installations spécialisées pour le traitement des déchets contaminées par les hydrocarbures (sludges, sloops , eaux contaminées, huiles usées, chiffons souillés…. ).
Les principales activités d’ AQUA FLORE PROTECT sont : Asséchement des cales de navires, Nettoyage des plans d’eau, Collecte des hydrocarbures dénaturés provenant des séparateurs/ débourbeurs, centrifugeuses, ateliers, etc. AQUA FLORE PROTECT est détentrice des autorisations d’exercer ces activités auprès des Ministères de tutelle : Ministère de l’Equipement, Direction des Ports en date du 02 Juin 2003 (Annexe).
Acceptabilité Environnementale délivrée par le Ministère Délégué Chargé de l’Environnement en date du 18 mai 2010 (Annexe ). Les installations de réception portuaire et moyens mis en place par AQUA FLORE PROTECT répondent aux recommandations internationales (MARPOL 73/78) et aux exigences réglementaires marocaines dans ce secteur.
Le sommaire de la notice descriptive se présente comme suit : Nature des Déchets autorisés à être Traités chez AFP Description des Moyens de Traitement Moyens de Collecte Principe de Fonctionnement de la Station et Procédures Mesures Préventives et Sanitaires Moyens Humains et Qualifications du Personnel Documents Administratifs et Juridiques Références et Attestations de satisfaction Distinctions et Parutions.

jeudi 23 mars 2017

Le Maroc cité comme "modèle" en matière de réutilisation des eaux usées (ONU-Environnement)


Le projet pilote de la ceinture verte d'Ouarzazate et la réutilisation des eaux usées traitées dans la lutte contre la désertification ont été mis en lumière par l’ONU-Environnement, à l'occasion de la Journée mondiale de l’eau (22 mars), citant le Maroc comme "modèle" en matière de réutilisation de ces eaux pour créer un espace vert urbain.



Dans un communiqué publié à l'occasion de cette journée internationale, l’Agence onusienne, dont le siège se trouve à Nairobi, a souligné les avantages de l'utilisation des eaux usées traitées pour soutenir le reboisement, ajoutant que la mise en place d’une ceinture verte autour de la ville d’Ouarzazate permet de protéger la ville des vents forts et des nuages de poussière, met à la disposition des populations locales un endroit où elles peuvent profiter de la nature, génère des emplois dans le secteur de l'agriculture et encourage la participation publique à la prévention de la dégradation des terres et de la perte de la biodiversité. 


Pour l’irrigation de ces nouveaux espaces verts, il a été procédé à la réutilisation des eaux usées et traitées de Ouarzazate, lit-on dans le communiqué. 


Financé par le gouvernement marocain et le Service coréen des Forêts, avec le soutien de l’ONU-Environnement et de partenaires locaux, ce projet vise aussi à améliorer la qualité de l'air, contribuer à la conservation de la biodiversité, fournir du fourrage et à améliorer les moyens de subsistance des communautés urbaines et périurbaines, relève le document.
 "Ce projet a permis la création d'emplois ainsi que des opportunités pour nous permettre d'améliorer notre connaissance et notre expérience", a affirmé Lhoussine Chetma, un habitant de Ouarzazate et travaillant dans le cadre du projet cité dans le communiqué. 

Initié dans le cadre de la protection de l’environnement, notamment le reboisement à partir des espèces forestières adaptées à la région, l’utilisation des eaux usées traitées et de l’énergie solaire pour le pompage, ce projet constitue une "excellente" illustration de l’utilisation de l’énergie solaire en vue de rediriger les eaux usées pour l’irrigation de cette ceinture et témoigne de la contribution de l’ONU-Environnement à mettre en évidence les avantages du traitement des eaux usées en faveur de la reforestation, souligne le communiqué. 

Par la même occasion, l’Agence onusienne a également cité comme modèle dans ce domaine un projet lancé, récemment à Dar Es Salaam, en Tanzanie, par l’ONU Environnement, l’ONU-Habitat, BORDA-Africa et d’autres partenaires, portant sur l’utilisation des eaux usées dans les zones urbaines sans systèmes d’égouts. 

"Les eaux usées sont une ressource trop précieuse pour être ignorée, surtout dans un monde où l'eau se fait de plus en plus rare", souligne l'ONU-Environnement, notant que "les eaux usées en provenance des grandes villes sont pour la plupart du temps rejetées dans les mers ou les rivières sans avoir été préalablement traitées, engendrant ainsi une pollution et une menace pour la santé des écosystèmes et des populations". 

"Lorsque les conditions nécessaires sont réunies, les eaux usées peuvent être recyclées pour servir à l'agriculture, l'irrigation ou l'industrie, des secteurs d'activités nécessitant tous d'énormes quantités d'eau", indique la même source.

 La Journée mondiale de l'eau met l'accent cette année sur la gestion durable des ressources en eau douce, et particulièrement sur la gestion des eaux usées dans les villes africaines. 

 

mercredi 22 mars 2017

"Le traitement des eaux usées génère de nouvelles ressources en eau"

Traiter les eaux usées réduit la pollution et prévient les maladies. C'est aussi devenu un impératif pour répondre à une demande croissante en eau dans le monde, affirme mercredi un rapport de l'ONU. "Les eaux usées représentent une ressource précieuse dans un monde où l'eau douce disponible est limitée et la demande en hausse", estime Guy Rider, président de l'ONU-Eau, à l'occasion de la journée mondiale de l'eau le 22 mars 2017. D'ici 2030, la demande pour les ressources en eau pourrait croître de 50%, essentiellement dans les villes.



"Nous devons tous recycler davantage les eaux usées pour satisfaire les besoins d'une population en augmentation et préserver les écosystèmes", ajoute-t-il dans un communiqué publié conjointement par ONU-Eau et l'Unesco, qui a coordonné le rapport Les eaux usées, une ressource inexploitée. Et pour cause : "80 % des eaux usées sont probablement libérées dans l'environnement sans traitement approprié" estime le rapport.
Une usine de traitement des eaux usées
"En Europe, 71 % des eaux usées municipales et industrielles générées sont traitées, tandis que seuls 20 % sont traitées dans les pays d'Amérique latine" chiffre-t-il. Dans les pays africains, le manque de ressources financières pour développer des infrastructures de traitement des
eaux usées constitue une contrainte majeure pour la gestion des eaux usées, tandis que 32 sur les 48 pays d'Afrique subsaharienne ne disposaient d'aucune donnée sur la production et le traitement des eaux usées, précise le texte.

En 2012, 842.000 décès liés à une eau contaminée

Si le document rappelle les enjeux sanitaires et environnementaux (en 2012, 842.000 décès ont été liés à une eau contaminée et à des installations sanitaires inadaptées), il invite à élargir la question du traitement de l'eau à celle de la préservation de cette ressource indispensable. "Concrètement, le traitement des eaux usées génère de nouvelles ressources en eau", résume Richard Connor, le rédacteur en chef du rapport.

"Or, l'intérêt des décideurs s'est jusqu'ici porté avant tout sur l'approvisionnement en eau plutôt que sur sa gestion après son utilisation", déplore l'Unesco, pour qui "les deux aspects sont indissociables". Aux États-Unis, l'eau de certains fleuves est utilisée jusqu'à vingt fois avant d'atteindre la mer.
A plus grande échelle, rendre l'eau de nouveau potable est possible : en Namibie, la capitale Windhoek, traite 35% de ses eaux usées pour réalimenter les réserves d'eau potable et les habitants de Singapour et de San Diego (Californie) boivent de l'eau recyclée. Mais l'objectif principal et plus facilement atteignable est que l'eau traitée soit utilisable en agriculture, qui représente environ 70% de la demande mondiale de cette ressource. Les besoins de ce secteur sont ainsi satisfaits en puisant moins dans les nappes phréatiques.

80% des eaux usées non traitées

Dans cette voie, la Jordanie a été un précurseur dès la fin des années 70 (90% des eaux traitées sont destinées à l'agriculture), avant que d'autres pays arabes s'y mettent, et Israël est en pointe avec près de 50% des terres cultivées arrosées avec de l'eau recyclée. Avec 10% des terres irriguées dans le monde de cette manière, la marge de progression est énorme. Toutefois, pour que cette solution soit bien acceptée, il faut informer en amont la population et donner des garanties sur la qualité.
En Egypte dans les années 90, un projet de réutilisation de l'eau pour l'irrigation et l'aquaculture a échoué. Idem dans certains endroits en Tunisie. Au-delà de leur ré-utilisation, le rapport met en avant le gisement de matières premières (phosphore et azote) et de biogaz que représentent les eaux usées, et le revenu potentiel qui peut en être tiré.
La ville d'Osaka produit ainsi chaque année 6.500 tonnes de carburant solide à partir de 43.000 tonnes de boues d'épuration. Et le Japon vise 30% d'énergie à partir des eaux usées d'ici à 2020.
En Suisse, les phosphates vendus doivent comporter 1% de produit récupéré par traitement des eaux. Pour les villes des pays en développement, là où "la crise est la plus grave", Richard Connor insiste sur l'intérêt de technologies peu coûteuses: zones humides artificielles, étangs de stabilisation, fosses septiques avec séparation des solides et des liquides, etc.


"L'option la plus viable, ce n'est pas forcément les systèmes centralisés d'assainissement exigeant un important investissement et ayant des frais de gestion élevés", affirme-t-il.Quel que soit le système, le chantier est gigantesque: 80% des eaux usées dans le monde sont rejetées sans traitement - plus de 90% dans certains pays - ce qui aboutit à répandre dans la nature bactéries, nitrates, solvants chimiques et médicaments.
Quelques chiffres marquants sur l'eau :

- 2,6 milliards de personnes ont eu accès à des sources améliorées d’eau potable depuis 1990, mais 663 millions de personnes en sont encore privées

- Au moins 1,8 milliard de personnes dans le monde utilisent une source d’eau potable qui est contaminée par des matières fécales

- Entre 1990 et 2015, la proportion de la population mondiale utilisant une source d’eau potable améliorée a augmenté de 76% à 91%

- Cependant, la pénurie d’eau affecte plus de 40% de la population mondiale et devrait augmenter. Plus de 1,7 milliard de personnes vivent actuellement dans des bassins fluviaux où l’utilisation de l’eau est supérieure à la quantité disponible

- 2,4 milliards de personnes manquent d’installations sanitaires de base, tels que des toilettes ou de latrines

- Plus de 80% des eaux usées résultant des activités humaines sont déversées dans les rivières ou la mer sans aucune dépollution\
- Chaque jour, 1 000 enfants meurent de maladies faciles à prévenir en améliorant les conditions d’assainissement et d’hygiène

- L’hydroélectricité est la source d’énergie renouvelable la plus importante et la plus utilisée. Depuis 2011, elle représentait 16% de la production totale d’électricité dans le monde

- Environ 70% de toute l’eau prélevée dans les rivières, lacs et aquifères est utilisée pour l’irrigation

- Les inondations représentent 70% des décès liés à des catastrophes causées par des aléas naturels


Taiwan a un moyen brillant pour que les gens recyclent d'avantage.

Taiwan has a brilliant way to get people to recycle more.  

jeudi 9 mars 2017

Cette famille “zéro déchet” qui a réussi à réduire de 90% ses déchets ménagers!

Cette famille landaise dite “zéro déchet” qui a réussi à réduire de 90% ses déchets ménagers
Bénédicte et Jérémy se sont lancé le défi il y a deux ans, "pour la planète, pour la santé, pour le porte-monnaie". Ils ont réussi à changer radicalement leurs habitudes et assurent avoir "gagné en qualité de vie". Ils ont publié deux ouvrages pour inciter chacun à s'y mettre petit à petit...

lundi 6 mars 2017

France : le recyclage du béton en marche

Le secteur du BTP génère en France une extraction annuelle de 7 tonnes de granulats par habitant, d’où la nécessité de valoriser les matériaux contenus dans les déchets issus de la démolition, de la déconstruction et de la rénovation des bâtiments, en vue de leur recyclage dans la fabrication de nouveaux matériaux. C’est l’objectif de Cofrage, projet de recherche coordonné par le BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières) Français.
Conçu sur l’optimisation de deux techniques, l’une reposant sur le chauffage par micro-ondes, l’autre sur l’utilisation de puissances électriques pulsées avant concassage sélectif, il a permis la mise au point avec succès de procédés de libération sélective des constituants du béton : sables et granulats réutilisables dans la formulation de nouveaux bétons et pâte de ciment hydratée pour la production de clinker ou de ciment.

une PME française du BTP d’une trentaine de salariés, a récemment mis en service une plate-forme de recyclage des matériaux de démolition à Lèves, près de Chartres. En effet, les dirigeants de cette société de démolition, gros œuvre et VRD (voirie et réseau divers) ont associé de près le Centre d’études et de recherches sur l’industrie du béton (Cerib) pour la mise au point des machines de concassage, de criblage et de lavage. L’objectif de cette opération est de valoriser ces granulats qui ne servent, pour l’instant, qu’à garnir les sous-couches des routes. Le directeur de cette entreprise, Stéphane Poullard, explique : «Nous avons combiné les bonnes pratiques du recyclage pour viser, dès l’an prochain, la norme CE2+. Cette norme permet d’introduire ces matériaux dans la formulation du béton». Fondée en 1979, Poullard réalise 4,5 millions d’euros de chiffre d’affaires, et a mobilisé 1,3 millions d’euros pour sa nouvelle plate-forme de recyclage de béton.


dimanche 5 mars 2017

I am a human ... أنا إنسان

لا يحتاج الإنسان إلى شوارع نظيفة ليكون محترماً...


لكن الشوارع تحتاح لإنسان محترم لتكون نظيفة .


vendredi 3 mars 2017

طريقة قلب إطار السيارة بشكل سهل جدا

طريقة قلب إطار السيارة بشكل سهل جدا

بدون جنط اي الحديد واذا كان الإطار

 صلب

 نضعه بالشمس لمدة نصف ساعة او

 بالماء الساخن عشرة دقائق ومن ثم

 نقلبه

 بالطريقة الموضحة بالفيديو

 ... كل التحية والشكر والتقدير لكل

 مهتم ومستفيد من

الافكار في مجال فن تدوير مخلفات البيئة.