jeudi 30 mai 2019

Les éboueurs du son ❗Comment faire de la musique avec tout ce qui traîne 🤔

Les éboueurs du son  (mettez du volume pour apprécier).
Comment faire de la musique avec tout ce qui traîne 🤔
Démonstration par le talentueux groupe Grooove Onkels...
Extrait choisi d'un show de rue.  

lundi 27 mai 2019

Portrait de Samy, éboueur suisse en 1989

"C'est pas parce qu'on travaille derrière un camion de balluches, en salopette orange, à ramasser de la merde, qu'on ne peut pas être bien habillé et respecté."

Portrait de Samy, éboueur suisse en 1989, retrouvé 30 ans plus tard par la RTS !

mercredi 22 mai 2019

Ah que ce serait beau de vivre à Casablanca !!! .🤲

CASABLANCA de nos rêves:

Casablanca est une très belle ville ou les citoyens vivent tranquillement et paisiblement , ou tous les boulevards et toutes les rues sont propres , vous n'y trouvez jamais un torchon ou un morceau de papier par terre , les poubelles sont toujours rangées à l'allemande : Jaune , Bleu , Vert. Vous n'y trouvez pas un seul chien errant , Les services d'hygiène sont là en permanence et ça fait très plaisir. Les marchands ambulants sont quasiment absents , tous les commerces ont lieu dans des magasins ou grandes surfaces . Tous les trottoirs de casablanca sont propres et ornés de fleurs et de roses et c'est très beau à voir . Tous les cafés et restaurants de la ville respectent ces trottoirs et n'y mettent jamais ne serait ce qu'une seule chaise . Toute la cote maritime de casablanca est très bien aménagée , de très belles corniches dotées d'infrastructures Top du Top et longeant des plages paradisiaques très propres et d'accès libre pour tout le monde : vous venez tout seul ou avec votre famille muni de votre parasol et de vos chaises pliables et vous trouvez facilement votre place , personne ne vous dérange et tout le monde s'astreint à respecter l'état des équipements et la propreté de la plage . Les bus de casablanca sont tous électriques , luxueux , silencieux , assurent ZERO POLLUTION , sont bien équipés et assurent un confort de premier rang aux passagers , ces bus sont tous équipés de caméras . Les TAXIS de casablanca sont toujours dans un état de propreté maximale et utilisent de manière systématique le compteur horokilométrique pour chaque course . Le département des routes et de la voirie de casablanca travaille de façon continue : asphalte et bitume sont omniprésents , si vous cherchez une fissure , un trou ou un petit fossé dans une allée ou une route , vous finirez toujours par ne rien trouver , tellement le travail du département des routes est très bien fait . Les parkings pour voitures sont partout souterrains et aériens y en a de toute sorte . Les entrées d'égouts de la ville sont nettoyées chaque semaine et traitées aux raticides , vous ne pouvez jamais voir un rat et certainement suite aux raticides il n' y a plus de rats à casablanca . Quand il y a de fortes averses de pluie , toute l'eau se trouve etre drainée rapidement par les entrées d'egouts , impossible de voir des innondations , tellement le travail est bien fait et tellement tout est bien étudié . A casablanca il n'y a pas de trace de mendicité , tout le monde vit bien , la pauvreté n'existe pas . A casablanca il y a énormément de parcs et de jardins et les gens sont très heureux , Ah que c'est beau de vivre à Casablanca !!! 

dimanche 19 mai 2019

RECYCLAGE DES BATTERIES : VERS UN DÉSASTRE ENVIRONNEMENTAL ?

Contrairement à ce qu’affirme le lobby du tout électrique, le recyclage des batteries est quasi-inexistant à l’heure actuelle. Et la ruée que l’on est en train de nous imposer vers les motorisations électriques ou hybrides pourrait se révéler être un véritable désastre environnemental demain.
LA PRESSION SUR LE LITHIUM

La fabrication de la batterie d’une voiture électrique (ou hybride) exige beaucoup de ressources énergétiques : Métaux, plastiques, circuits électroniques, mais aussi (surtout) terres rares. Le lithium qui compose les batteries est difficile à extraire et sa production pèse fortement sur l’environnement. Le concept de l’énergie propre est bien une mystification.
Le lithium, en principe, n’est pas la seule technologie pour les batteries mais, de facto, tous les véhicules actuels et à venir pour au moins les 5 prochaines années sont basés sur des batteries utilisant cette technologie Li-ION avec Cobalt. Nous sommes donc bien forcés de nous poser la question de son cycle de vie. D’autres techniques de batteries existent théoriquement (sodium, zinc) mais à ce jour, elle ne sont pas industrialisées et sont encore à l’état expérimental. Mais surtout, quelles que soit la technologie utilisée, sodium, zinc, cobalt, plomb ou lithium, la multiplication de la demande va générer une demande nouvelle sur la ressource, avec les impacts énergétiques et environnementaux induits pour l’extraction de ces nouvelles terres qui seront considérables.

LE RECYCLAGE DU LITHIUM

Actuellement en Europe seulement 5% des batteries lithium sont recyclées. Evidemment, compte-tenu de la demande, une véritable filière de recyclage devrait émerger, mais sans forcément régler tous les problèmes. En premier lieu parce qu’il n’y a pas une batterie semblable à une autre, en fonction des constructeurs. Donc pas de processus standardisé et économique pour recycler ces batteries. Théoriquement le recyclage d’une batterie Lithium est possible à 85 – 90%, en pratique il n’est possible d’arriver de façon industrielle qu’à 50 – 80%. Cela pose une question majeure : que fait-on des 20-50% restants.
Cela, le lobby du tout électrique n’en parle pas… vendons les Voitures Électriques, on verra plus tard. 

LE COÛT DU RECYCLAGE

Le lithium est particulièrement difficile à recycler sous une forme permettant sa réutilisation. Il faut ajouter des processus de purification du matériau. Et puis surtout, le recyclage demande beaucoup d’énergie et de ressources. Et plus on souhaite aller loin dans le pourcentage de recyclage et de purification du lithium, plus le coût est exponentiel. Le recyclage des batteries, c’est un peu le serpent qui se mord la queue : pour que la filière de recyclage des batteries se développe, il faut la financer. Et ce serait mieux qu’elle soit rentable. Mais ce recyclage coûte cher et il faudra bien que quelqu’un paye. Et ça, personne n’a envie de le faire. Le risque de ne pas recycler est donc réel : comme pour le diesel, il faudra donc peut-être attendre que les impacts environnementaux des batteries non-recyclées commencent à coûter trop cher à la collectivité pour que celle-ci se décide à financer une filière. Mais à l’arrivée, que le financement du recyclage soit public ou privé, c’est l’individu lambda qui supportera ce coût.
Cela, le lobby du tout électrique n’en parle pas… vendons les VE, on verra plus tard.

LE FANTASME DU STOCKAGE

Le lobby du tout électrique évoque la réutilisation des batteries des VE mises au rebus pour « stocker de l’énergie » et leur donner une seconde vie. Sur le papier c’est séduisant. Dans la pratique, déjà, ça ne fait que repousser le problème de quelques années, car les batteries auront bien un jour une fin de vie. Mais surtout ces projets de « Smart Grid » sont un mythe pur et simple tant les obstacles techniques sont nombreux. Le premier obstacle c’est notre méconnaissance du comportement des batteries dans le temps. Nous n’avons aucun recul sur la détérioration réelle des batteries supportant des cycles de charges parfois rapides, parfois lents, parfois complets, parfois partiels, etc … Les estimations tablent sur 30% de perte de capacité mais cela pourrait être bien plus. Observons simplement que la batterie de nos smartphones est HS au bout de 3-4 ans. Ensuite, l’hétérogénéité des batteries, à des stades de dégradation différents, avec des composants différents, avec des caractéristiques techniques (capacités de charge, puissance, tension de service) différentes, avec des encombrements différents, … Et quel coût d’installation et d’exploitation à long terme pour un système de Smart Grid ? C’est l’inconnue totale…
Cela, le lobby du tout électrique n’en parle pas… vendons les VE, on verra plus tard.


ET SI ON CHANGE DE TECHNO ?


Le lobby du tout électrique nous promet plein de nouvelles technologies pour « demain », notamment des batteries solid state sodium. Et encore d’autres « après-demain ». Dans ce cas, une véritable filière de recyclage de batterie Li-ION pourrait se retrouver obsolète avant même d’avoir atteint son seuil de rentabilité. Et ainsi de suite au fil des évolutions technologiques. Peu de chance dans ce cas que les industriels investissent dans cette direction. Dans ce cas, soit on s’assoie sur le recyclage, avec les conséquences environnementales que l’on imagine, soit on fait peser le poids total du recyclage sur l’utilisateur et/ou le contribuable.
Cela, le lobby du tout électrique n’en parle pas… vendons les VE, on verra plus tard.

samedi 18 mai 2019

mardi 14 mai 2019

FÈS. LE TRI DES DÉCHETS DÉBUTERA À LA SOURCE

La commune de Fès vient d’adopter une pétition déposée par une association. L’examen de cette pétition élaborée par la société civile pour l’adoption du tri à la source des déchets de la ville est considéré comme une première dans son genre dans les sessions ordinaires du conseil.



La ville de Fès compte entamer une nouvelle génération de valorisation des déchets. En effet, la commune a adopté récemment, lors de la session ordinaire de son conseil, une pétition déposée par l’Association des enseignants des sciences de la vie et de la terre (AESVT) portant sur l’adoption du tri à la source des déchets de la ville. Le président de la commune de Fès, Idriss Azami Al Idrissi, a souligné que «l’examen de cette pétition élaborée par la société civile est considéré comme une première dans les sessions ordinaires du conseil. Elle s’inscrit dans le cadre de la démocratie participative décrite par la loi organique relative aux communes».


La pétition présentée par l’association comprend un plaidoyer pour le traitement des déchets de manière moderne au niveau de la décharge publique de Fès. Les responsables de l’AESVT ont proposé plusieurs recommandations issues des différentes rencontres de consultation au sujet de l’étude technique d’évaluation de la loi 28-00 sur la gestion des déchets, le programme national de gestion des déchets ménagers et assimilés et les cahiers des charges des sociétés de la gestion déléguée. L’association a appelé, dans ce cadre, à la révision de cette loi et à la redéfinition juridique des déchets, qui constituent une richesse nécessitant une valorisation, de même qu’elle a recommandé la révision des cahiers des charges pour mieux l’adapter aux mutations actuelles. Les responsables de l’AESVT ont indiqué que le projet «pour une gestion efficace et efficiente des déchets au Maroc» a permis l’organisation de plusieurs rencontres de concertation et de tables rondes pour renforcer les plaidoiries en matière de gestion des déchets, faisant état de la participation de 20 établissements scolaires de Fès et de Tanger à ce programme.

«Notre objectif est de créer une force de proposition et de plaider en faveur d’un changement de conception et de représentation des citoyens marocains vis à- vis des déchets, qui doivent être considérés comme des ressources et non pas comme des ordures et ceci par un travail de renforcement des capacités de plaidoyer chez les associations et les clubs d’environnement scolaire, et une analyse de l’arsenal juridique qui régit la gestion des déchets au Maroc. Il s’agit notamment de la loi 28.00 et le PNDM ainsi que les cahiers des charges des sociétés déléguées pour la collecte et la décharge, en vigueur actuellement», expliquent les responsables de l’AESVT.

Les constats faits par l’association sont le fruit d’une lecture des cahiers des charges et d’une analyse de son opérationnalisation sur le terrain. Le projet de cette association vise à assurer la sensibilisation et la formation des associations concernées par le domaine des déchets et proposer plusieurs sociétés de gestion déléguées dans chaque grande ville, ce qui ouvre la porte à la concurrence. Il permet aussi de valoriser le tri à la source en adoptant le principe de l’incitation des ménages ou des groupes de ménages (syndics, coopératives, associations). L’association propose également de mettre en place des sanctions à l’égard des citoyens qui ne respectent pas les horaires de collecte. Elle propose aussi de créer des applications pour le suivi de la gestion déléguée, notamment les points noirs.

Créée en 1994, l’AESVT Maroc est une association nationale à but non lucratif, constituée d’un réseau de 35 sections regroupant plus de 2.000 membres actifs et 10.000 volontaires. Elle gère un réseau de 18 Centres d’éducation à l’environnement (CEE). L’AESVT Maroc vise à travers ses différents programmes et projets locaux et nationaux la promotion de la culture scientifique en matière d’éducation à l’environnement, à la santé et au développement durable.

dimanche 5 mai 2019

Triste vérité 😢 :(

Une variante moderne des Glaneuses,  ....dit aussi les Glaneuses...peinture à l'huile de Jean-François Millet.(1877) .

 (Musée d'Orsay, Paris.)